Pour retrouver quelques traces des premières peintures – essentiellement des gouaches et des aquarelles rehaussées d’encre de Chine – il faut revenir à la seconde moitié des années soixante. La plupart d’entre elles sont aujourd’hui perdues ou ont été données lorsqu’elles n’ont pas été tout simplement détruites… Par la suite, après de multiples voyages et déménagements, comme après une guerre ou une épidémie, les survivants sont peu nombreux. Il faudra donc se contenter ici d’un bric-à-brac improbable où, portraits, dessins, paysages, nature mortes et parfois vivantes, sont pour la première fois, réunis.